Samedi 23 mars
à Fresnay sur Sarthe
Hall Philippe Gautier
place de Bassum
à partir de 10h
Le conseil d'administration s'est réuni à Coulaines le jeudi 4 avril 2019.
Président d'honneur: Jean Paul Couasnon
Présidente :Stéphanie Hercé, Vice-présidente: Nicole Ducros
Secrétaire : Hélène Leproust
Secrétaire adjoint: Fabrice Courtin
Trésorier: Thierry Bottras
Trésorier adjoint: Maud Victor
Si vous avez des places disponibles lors de vos déplacements en Allemagne, on peut afficher une annonce (à titre gracieux) pour informer les autres comités.
Maine libre du 5 avril 2019
La réception-« surprise « à laquelle vous m’avez convié vendredi 2 novembre à Arnage est pour moi une soirée mémorable et inoubliable.
Votre très nombreuse présence, chaleureuse et amicale, est une récompense que je ne croyais pas mériter.
En tout cas, elle m’a beaucoup touché et je vous sais gré de ces sourires et cadeaux dont vous m’avez comblé, notamment le livre avec toutes les photos-souvenirs de ces longues périodes de nos
relations et rencontres de jumelages.
Les plus anciens participants, comme les plus récents, portent témoignage de cette longue marche commune sur la route de l’amitié et de la construction européenne doit toujours nous
mobiliser.
Au bureau de notre Comité et à nos partenaires du Foerderkreis qui ont conjugué leurs efforts pour organiser ensemble cette impressionnante cérémonie amicale , je tiens à transmettre comme
à vous tous, présents ou excusés, ma vive reconnaissance .
A bientôt cordialement
Jean-Paul
Madame Monique Chéron est décédée le 6 septembre 2018 à l'âge de 70 ans.
"Monique a animé le jumelage cantonal de Vibraye avec Wagenfeld depuis plus de trente ans , elle siégeait à ce titre au conseil d’administration de notre Comité . Elle a également été pendant de nombreuses années adjointe au maire de Berfay.
Jacques Poutot, ancien secrétaire du comité , est décédé à l'âge de 76 ans. Ses obsèques seront célébrées le mardi 12 juin à 14 h 30 à St Martin de Pontlieue.
Il suffit de cliquer sur Télécharger puis d'ouvrir le document
Après sept " septennats " ( ! ), je vous confirme mon désir de renoncer à la présidence
du Comité de liaison Maine Basse Saxe .
L'Assemblée Générale qui s'est tenue samedi 17 février à Allonnes - dans la meilleure ambiance , avec des représentants de plus de 50 villes et communes sarthoises jumelées m'a convaincu
que l'heure était venue de passer la main à une équipe amicale, unie et désireuse d'apporter une vision neuve à notre action commune .
Cette longue période, la diversité et la richesse de ces contacts, de nos expériences avec les élus locaux, les directeurs d'établissements d'enseignement ,les responsables d'associations
culturelles et sportives, cette extraordinaire chaîne d'amitié, de sympathie et parfois même de mariages et de naissances, constituent pour moi l'œuvre d'une vie, avec l'espoir de la poursuivre
encore longtemps à vos côtés.
Depuis le premier échange en tant que lycéen à Wuerzburg, le premier groupe sarthois en Basse Saxe en août 1960, un stage à Ludwigsburg ( avec la présence au discours historique du général de
Gaulle à la jeunesse allemande ) , Cologne, Paderborn et l'investissement enthousiaste dans son jumelage, plus tard dans des conférences à leur université , Bad Soden am Taunus, que de souvenirs
heureux, pour ne pas parler des innombrables rencontres et accueils en Sarthe, ou la fréquentation de personnalités politiques et culturelles., en même temps que des milliers et des milliers de
jeunes.
Bien plus d'une centaine de voyages et séjours en République Fédérale, des amitiés éclectiques et poursuivies pendant des décennies : que de joies, d'émotions et de sacrifices imposés à ma
famille !
Qui aurait imaginé que sur ou trois générations, chaque année, quelque cinq mille jeunes et adultes rendraient visite à leurs partenaires d'Outre Rhin et seraient accueillis dans leurs familles
?
La reconnaissance accordée en 1986 par le Land de Basse Saxe, puis au printemps l'ordre du Mérite Fédéral a l'Ambassade à Paris, étaient à partager avec les équipes successives et unies du Comité
Maine Basse Saxe et de son homologue , le Foerderkreis en Basse Saxe, toujours avec l'appui de notre généreux mécène, l'Office Franco Allemand pour la Jeunesse.
Dans quelques semaines, mes collègues du conseil d'administration adouberont l'équipe nouvelle, mais déjà expérimentée qui aura à poursuivre cette tâche exaltante
et préparer pour 2019 notre soixantième anniversaire des rencontres d'amitié franco-allemande .
Merci à toutes et tous , à bientôt
Jean Paul Couasnon
Les jumelages, cœur battant de l’Europe
24 janv. 2018
À l’heure des séjours Erasmus et des réseaux sociaux, on les avait presque oubliés… 2 200 jumelages associent des collectivités locales françaises et allemandes. Mais ces pionniers du rapprochement franco-allemand devenus les fers de lance de la réconciliation entre les deux sociétés dans les années 1960, ne font plus parler d’eux. À tort. Selon une étude de l’Institut franco-allemand de Ludwigsburg (DFI) et de la Fondation Bertelsmann, ils sont un modèle de partenariat pour la construction d’une Europe vivante et proche des citoyens.
L’étude est la plus vaste jamais réalisée sur les jumelages franco-allemands. Elle s’appuie sur une enquête auprès de 1322 villes situées sur les deux rives du Rhin. Et elle a été motivée par l’actualité.
Crise de la zone euro, montée des partis populistes, Brexit : « l’intégration politique menée depuis des décennies risque de devenir le jouet de formations populistes si l’on ne réussit pas à associer la population au projet européen », met en garde Frank Baasner, directeur du DFI. « Les gens doivent sentir qu’ils font partie d’une communauté européenne. […] Parallèlement à la création d’institutions communes, il faut promouvoir des initiatives qui instaurer une Europe ‘d’en bas unie ».
État des lieux
Mais quelle est la réalité des jumelages aujourd’hui ? Et quelle peut être leur contribution au développement d’une conscience européenne ? L’étude fournit un état des lieux très encourageant. Elle montre que les 2 200 jumelages de villes franco-allemands (sur les 20 000 jumelages existants dans l’Union européenne) sont actifs, efficaces pour créer des liens personnels entre les Européens et, le plus souvent, tournés vers l’avenir.
80 % des personnes sondées jugent ainsi que le jumelage représente « l’Europe en action ». 76 % jugent « très bonnes » les relations avec la ville jumelée. Près des deux tiers indique que leur jumelage est stable ou gagne en intensité (seul un sur cinq estime qu’il est moins actif qu’autrefois). Dans un cas sur trois, plus de 70 personnes vont chaque année dans la ville jumelée. Et près de 60 % des jumelages désirent d’urgence que plus de citoyens s’engagent en leur sein. Bref, les jumelages occupent une place centrale dans le paysage communal.
Les jumelages, victimes de préjugés
L’étude rompt par ailleurs avec un préjugé tenace qui voudrait que les jumelages incarnent un héritage vieillissant du rapprochement franco-allemand. Certes, les plus âgés y sont surreprésentés. Mais il est remarquable qu’un quart des participants a moins de 30 ans.
L’analyse permet aussi de constater que la volonté d’ouvrir des perspectives aux jeunes constitue une motivation croissante des activités des comités de jumelage. Les échanges scolaires, les rencontres de jeunes et les rencontres entre associations, sportives ou musicales par exemple, jouent un rôle pivot. Et la majorité des jumelages se sont adaptés à leur époque. Ils proposent de nouveaux formats d’échanges, tels que les échanges de stagiaires et les offres de jobs d’été.
Autre préjugé, autre erreur : les jumelages sont loin de ne mobiliser que des publics diplômés, ou déjà très investis en faveur de la construction européennes. Ce n’est le cas que dans un dixième des communes interrogées. À l’échelle nationale, le constat est tout autre : les jumelages touchent toutes les couches de la population. Et ils atteignent des personnes qui ne s’intéressent pas à l’Europe en soi, car les échanges reposent le plus souvent sur le partage d’activités de loisirs, de hobbies et les contacts entre clubs.
L’époque des années 1960 et 1970, où la volonté de réconciliation entre les deux pays était très présente, semble ainsi révolue. « Créer des opportunités pour la jeune génération », « contribuer à la construction d’une Europe pacifique » ou « faire tomber les préjugés » restent des motivations durables. Mais la volonté d’élargir les horizons des citoyens a gagné en importance.
La rencontre personnelle, base de la construction d’une Europe des citoyens
C’est d’ailleurs ce qui fait toute la richesse et tout le potentiel de ces jumelages pour l’avenir. « La plus-value particulière réside dans la rencontre personnelle et la découverte des conditions de vie sur place », note l’étude. L’expérience de l’hospitalité et de l’accueil dans un environnement inconnu, ainsi que les rencontres « amènent à une conscience de la vie réelle dans le pays partenaire et rendent celle-ci tangible ».
Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, la langue n’est pas un obstacle. Lorsque les compétences linguistiques font défaut, une personne bilingue du groupe, l’aide de l’anglais ou celle des traducteurs automatiques sur internet est toujours disponible.
Dans ces conditions, les jumelages contribuent à la formation d’une conscience européenne et à l’émergence d’un sentiment d’appartenance à l’Europe, conclut l’étude. Loin d’être une forme dépassée de coopération, ils semblent plus utiles et plus actuels que jamais. Et ils « agissent également comme une barrière contre les courants eurosceptiques ».
Dans le contexte européen actuel, cela n’est pas anodin. Lors d’une présentation de l’étude au Goethe Institut de Paris mardi 23 janvier, Joachim Fritz-Vannahme, Senior Advisor à la Fondation Bertelsmann, a relevé une information : le Royaume-Uni, qui a voté le Brexit, est aussi l’un des pays européens qui compte le moins de jumelages…
A.L.
Source : DFI institut franco allemand
Un article en mémoire d'André Legendre décédé dans sa 95 ème année
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Après s'être retrouvé sur le parvis de Notre Dame, on a embarqué sur les vedettes du Pont Neuf pour une croisière promenade sur la Seine.
Suivi d'un déjeuner au restaurant crèperie "Le molière" 12 rue de Buci, qui a été très apprécié.
Une blanquette et un duo de desserts.
Dans le jardin du Luxembourg pour patienter avant la visite du Sénat.
Au Sénat, le sénateur Jean Pierre Vogel nous accueille avant la visite du magnifique palais du Luxembourg
Dans l'hémicycle
La réunion des comités se tenait à Allonnes.
Madame Martina Heathcote présidente du Foerderkreis, Monsieur Gilles Leproust maire d'Allonnes, Monsieur Jean-Paul Couasnon président du Comité Maine Basse-Saxe et Madame Maud Victor présidente du comité de jumelage Allonnes Delmenhorst.
kreis-paderborn.de 19 juli 2016
Martina Heathcote, de Stuhr responsable allemande du projet Tandem depuis plusieurs années , devient la nouvelle présidente, avec Steffen Akkermann, d'Harpstedt, vice president, Mme Frauke Wulf ( responsable de la culture et des jumelages à la mairie de Stuhr ) ,secrétaire generale, Kirstin Arlt restant trésorière avec pour adjointe Cornelia Mamat (Pdte du CJ de Weyhe).
C’est à la Bazoge, fief de notre nouvelle secrétaire, Hélène Leproust, et de notre nouveau trésorier, Nicolas Ménager, que s’est tenue la réunion du comité sous la présidence de Jean Paul Couasnon et de Stéphanie Hercé, vice-présidente qui succède à Margot Voland. Christian Baligand, maire de la Bazoge, s’est joint au comité pour honorer Nicole Ducros et Pierre Cerqueus qui ont œuvré pendant de longues années respectivement comme secrétaire et trésorier. Margot, étant absente, les membres du comité auront une autre occasion de partager le verre de l’amitié.
En savoir plus sur le site http://www.europa-union-diepholz.de